Alors que le président sud-africain Cyril Ramaphosa est sous pression pour une prise de parole « imminente », les cadres de son parti Congrès national africain (ANC) ont convoqué une réunion « d’urgence » vendredi 2 décembre, renseigne Rfi. Cela pour débattre du rapport soupçonnant le président de possibles « violations et des fautes » après la découverte d’importantes sommes chez lui. S’il pourrait être destitué, le moment est aussi délicat pour l’ANC, qui doit choisir un nouveau leader.